Taxation de la réduction du capital avec remboursement des actifs aux associé ?
Patrick Gordinne Perez2024-10-03T17:49:28+00:00La reducción de capital es una decisión que las empresas pueden tomar, en algunos casos, para redimensionar su actividad o estructura societaria. Indicamos si esta tributa y de qué manera. La réduction de capital est une décision que les entreprises peuvent prendre, dans certains cas, pour redimensionner leur activité ou leur structure. Nous indiquons si et comment elle est taxée.
Imposition d'une réduction de capital avec remboursement des apports en capital
Les réductions de capital, lorsqu’elles impliquent un remboursement des apports aux actionnaires, sont imposables.
Sans surprise, il s’agit d’un montant que ces personnes reçoivent et qui, par conséquent, est soumis à l’impôt.
En principe, il existe quatre types d’impôts : l’impôt sur les transferts (ITP) et l’impôt sur le revenu des personnes physiques (IRPF); si l’associé est un étranger, l’impôt sur le revenu des non-résidents (IRNR) peut s’appliquer. Si l’entreprise est une personne morale, l’impôt sur les sociétés (IS) s’applique.
Il est donc utile de connaître les différents cas de figure en fonction de leurs caractéristiques. Nous allons voir ce qu’il en est :
1. réduction de capital : droits de mutation (ITP).
La réduction du capital avec rémunération des actionnaires est considérée comme un transfert d’actifs et, par conséquent, est soumise à l’impôt sur les transferts (ITP). Il convient de rappeler que cet impôt, bien qu’il s’agisse d’un impôt d’État, est dévolu aux communautés autonomes.
Le taux général de l’impôt est de 1 % de la valeur totale de la transaction. Selon le territoire, il devra être réglé dans les trésoreries territoriales. En tout état de cause, il s’agit d’une question incontournable.
2. l’impôt sur le revenu des personnes physiques (IRPF)
En second lieu, cette opération est soumise à l’impôt sur le revenu des personnes physiques. En ce sens, le critère à prendre en compte est l’existence de bénéfices, de revenus de capitaux mobiliers.
Dans ce cas, il est nécessaire d’appliquer le taux d’imposition correspondant, qui variera en fonction du montant des plus-values. Voyons ce qu’il en est :
- Jusqu’à 6 001 euros : 19 %.
- Entre 6 001 et 50 0001 euros : 21 %.
- Plus de 50 001 euros : 23 %. Il s’agit du taux d’imposition le plus élevé.
3. Impôt sur le revenu des non-résidents (IRNR)
L’IRNR est l’alternative pour les non-résidents de payer leurs impôts en Espagne.
Les personnes qui ont des intérêts dans le pays ont également des obligations envers les autorités fiscales espagnoles.
Dans ce cas, l’IRNR remplit à peu près la fonction de recouvrement de l’IRPF, en la remplaçant. Pour ce type d’opération, le précompte mobilier s’élève à 19 % des revenus.
4. Impôt sur les sociétés (IS)
C’est le cas lorsque la personne qui quitte une entreprise est une personne morale.
Et ce, qu’il s’agisse d’une société anonyme ou d’une société à responsabilité limitée. Dans ce cas, elle doit être régie par le taux de l ‘impôt sur les sociétés.
Toutefois, vous pouvez bénéficier d’une exonération de 95 % du montant à payer si vous détenez moins de 5 % du capital ou si cet apport a duré plus d’un an.
En bref...
La réduction du capital vous oblige à payer des impôts, en fonction des circonstances et du lieu de résidence. Êtes-vous concerné par cette opération ?
Chez Asesoría Orihuela Costa, nous vous dirons quelles sont les exigences fiscales à respecter dans votre cas particulier.
Contactez-nous pour plus d’informations et nous vous renseignerons sans engagement !